En regardant mes jacinthes
Des monts et merveilles, des mots et merveille, des maux et merveilles
Merveilles des merveilles .L’ amer veille tout au fond d’ ma mer
La mer de nos maux
Remplissant tonneau damné,d’années ides
L’hydre de nos défauts cachés bien au chaud.
Une fleur timide hausse son chapeau
Et ça m’intimide comme un chant nouveau
Le même que ma mère
Sortait des roseaux
Pour faire une barque à lancer sur l’eau
Bateau de papier ou voilure d’acier
C’est toujours le même, ce petit oiseau
Qui vient se percher
Sur l’espoir nouveau
"une fleur timide hausse son chapeau
RépondreSupprimeret ça m'intimide comme un chant nouveau"
c'est très joli
très beau texte Micheline, je l'apprécie plus spécialement encore car je viens de quitter les jacinthes du rebord de ma fenêtre... Bon dimanche !
RépondreSupprimerNous nous étions croissées il y a quelques mois
RépondreSupprimerje vous retrouve grace à une recherche sur la Jacinthe
alors il est normal d'ainsi lui rendre hommage
Quelle chance elles ont ces jacinthes de t'avoir pour éleveuses. Rares sont ceux et celles qui pensent à les élever à ce rang d'égéries...
RépondreSupprimerFaut dire aussi qu'elles sont superbes, et que leur parfunm qui entête vaut autant que le charme qu'elles offrent à nos yeux...
Douceur et délicatesse dans ce poème, un petit bonheur supplémentaire en ce lundi matin. Bonne semaine Micheline, je t'embrasse.
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