27.11.09
26.11.09
Mardi c'était jour de grève à l'école
un zoom sur une petite tête de biche en bronze
l'inévitable amaryllis
et photo d'une ancienne photo en noir et blanc de sa tante
Pas mal les photos de ma petite fille Fanny ???
22.11.09
20.11.09
19.11.09
j'avais bien dit
que je ne mettrais plus que de petites fleurs
ça reste longtemps une habitude

ou se coubent encore à finir la maison
16.11.09
les surprises du weekend à la campagne
mi-novembre: je les attendais bien un peu les petits gris!
Fidèles au rendez-vous, uniquement sous l'if, importés des Alpes il y a bien longtemps, ils furent au rendez-vous
petits , long pied fragile, blanc et creux, lamelles blanc grisâtre, chapeau mamelonné gris souris, 850gr épluchés, ils firent une belle poêlée
bientôt réduite en un volume modeste mais odorant et délicieux

mais la surprise véritable fut deux belles traînées de pieds violets, à cueillir toujours avec la même délicatesse

Dodus ceux-là dont l'un plus large que la main s'était permis une colerette de plus joli effet
1 kg 250!! quelle aubaine!
Un des plus délicieux champignons , avec le rosé des prés et la girolle etc... enfin selon les goûts!

Le chat sous la banquette, la poule dans son carton , le chauffeur vérifie le chargement avant d'assumer en toute sécurité le retour à la maison des passagers
13.11.09
La plus célèbre chanson du front ( 1914-1918
La chanson de Craonne ( extrait de presse 12 août 1964)
La guerre de 1914-1918 avait son « barde », Théodore Botrel, qui chantait les exploits de la Rosalie ( la baïonnette)et exhalait les soldats à aller vaillamment se faire tuer. Mais au front, d’autres chansons avaient cours, dont les auteurs, d’authentiques combattants, exprimaient les misères et les révoltes des « poilus ». la plus célèbre était La chanson de Craonne ( qui a de nombreuses variantes :Chanson de Lorette, de Verdun, etc.) en voici le texte :
I
Quand au bout de huit jours le repos terminé
On va reprendre les tranchées
Notre place est si utile
Que sans nous on prend la pile
Mais c’est bien fini on en a assez
Personne ne veut plus marcher
Et le cœur bien gros comm’ dans un sanglot
On dit adieux aux civelots
Même sans tambour, même sans trompette
On s’en va là-haut en baissant la tête
Refrain
Adieu la vie, adieu l’amour
Adieu toutes les femmes
C’est bien fini, c’est pour toujours
De cette guerre infâme.
C’est à Craonne, sur le plateau
Qu’on doit laisser sa peau
Car nous sommes tous des condamnés
Nous sommes les sacrifiés
II
Huit jours de tranchées, huit jours de souffrance
Pourtant on a l’espérance
Que ce soir viendra la relève
Que nous attendons sans trêve
Soudain dans la nuit et dans le silence
On voit quelqu’un qui s’avance
C’est un officier d chasseur à pied
Qui vient pour nous remplacer
Doucement dans l’ombre sous la pluie qui tombe
Les petits chasseurs vont chercher leurs tombes
III
C’est malheureux de voir sur les grands boulevards
Tous ces gros qui font la foire
Si pour eux la vie est rose
Pour nous c’est pas la même chose,
Au lieu de s’cacher tous ces embusqués
Feraient mieux d’monter aux tranchées
Pour défendre leurs biens, car nous n’avons rien
Nous autres les pauvres puritins
Tous les camarades sont étendus là
Pour défendre les biens de ces messieurs-là
Refrain final
Ceux qu’ont le pognon, ceux-là reviendront
Car c’est pour eux qu’on crève
Mais c’est fini car les trouffions
Vont tous se mettr’ en grève
Vont tous se mettr’ en grève
Ce sera vote tour messieurs le gros
De monter sur l’plateau
Car si vous voulez la guerre
Payez-là de votre peau.
La guerre de 1914-1918 avait son « barde », Théodore Botrel, qui chantait les exploits de la Rosalie ( la baïonnette)et exhalait les soldats à aller vaillamment se faire tuer. Mais au front, d’autres chansons avaient cours, dont les auteurs, d’authentiques combattants, exprimaient les misères et les révoltes des « poilus ». la plus célèbre était La chanson de Craonne ( qui a de nombreuses variantes :Chanson de Lorette, de Verdun, etc.) en voici le texte :
I
Quand au bout de huit jours le repos terminé
On va reprendre les tranchées
Notre place est si utile
Que sans nous on prend la pile
Mais c’est bien fini on en a assez
Personne ne veut plus marcher
Et le cœur bien gros comm’ dans un sanglot
On dit adieux aux civelots
Même sans tambour, même sans trompette
On s’en va là-haut en baissant la tête
Refrain
Adieu la vie, adieu l’amour
Adieu toutes les femmes
C’est bien fini, c’est pour toujours
De cette guerre infâme.
C’est à Craonne, sur le plateau
Qu’on doit laisser sa peau
Car nous sommes tous des condamnés
Nous sommes les sacrifiés
II
Huit jours de tranchées, huit jours de souffrance
Pourtant on a l’espérance
Que ce soir viendra la relève
Que nous attendons sans trêve
Soudain dans la nuit et dans le silence
On voit quelqu’un qui s’avance
C’est un officier d chasseur à pied
Qui vient pour nous remplacer
Doucement dans l’ombre sous la pluie qui tombe
Les petits chasseurs vont chercher leurs tombes
III
C’est malheureux de voir sur les grands boulevards
Tous ces gros qui font la foire
Si pour eux la vie est rose
Pour nous c’est pas la même chose,
Au lieu de s’cacher tous ces embusqués
Feraient mieux d’monter aux tranchées
Pour défendre leurs biens, car nous n’avons rien
Nous autres les pauvres puritins
Tous les camarades sont étendus là
Pour défendre les biens de ces messieurs-là
Refrain final
Ceux qu’ont le pognon, ceux-là reviendront
Car c’est pour eux qu’on crève
Mais c’est fini car les trouffions
Vont tous se mettr’ en grève
Vont tous se mettr’ en grève
Ce sera vote tour messieurs le gros
De monter sur l’plateau
Car si vous voulez la guerre
Payez-là de votre peau.
12.11.09
que faire de ces vieilleries?
tout est d'origine!
celui auquel je tiens est le petit rouge au quadran noir premier cadeau que j'expédiai à ma soeur, à l'école normale en 1941


voici une coupure de journal où il anote de sa main une chanson qui se chantait alors
Mourir

PS:je la récrirai si on ne peut lire en cliquant dessus
11.11.09
en faisant mon tour
10.11.09
il arrive que
L'on fasse semblant de rire pour ne pas pleurer!!
Pas facile les lendemains qui ne chantent pas..
Lendemain des petites filles désorientées..
Plus une enfant, pas encore une ado..
Plus un petit ange, pas encore un démon..
Comment tourne le vent des héritages contraires?
L'inconscient somatise, le corps devient chantage
Pas facile les lendemains qui ne chantent pas..
Lendemain des petites filles désorientées..
Plus une enfant, pas encore une ado..
Plus un petit ange, pas encore un démon..
Comment tourne le vent des héritages contraires?
L'inconscient somatise, le corps devient chantage
A défaut d'autres armes pour crier sa révolte impuissante.
******************************************
9.11.09
en nouvelle version blogger
apparemment
quelques options
supplémentaires.. ainsi pouvoir changer à volonté type,taille
etc...concernant les polices...mises en page....
quelques options
supplémentaires.. ainsi pouvoir changer à volonté type,taille
etc...concernant les polices...mises en page....
plus important placer images et texte d'une façon précise et variable facilement
je m'amuse!!! parce que je crois avoir découvert le mystère des disparitions et réapparitions de cette version : 2 adresses compte google qui ne sont plus interchangeables.. enfin quelque chose comme ça!!!!!
PAUVRE DE MOI
numero de haute voltige!!
7.11.09
vraiment je n'y croyais plus
à ma nouvelle version!!
cette image de chanterelle est déjà allée se promener ailleurs!!
bienvenue pour son retour au bercail!
pourvu que ça "doure"
2.11.09
à ceux qui ont disparu
Longtemps, longtemps après que les poètes ont disparu
leurs chansons courent encore dans les rues
L'âme des poètes (Longtemps, longtemps, longtemps)
Charles Trenet
Longtemps, longtemps, longtemps
Après que les poètes ont disparu
Leurs chansons courent encore dans les rues
La foule les chante un peu distraite
En ignorant le nom de l'auteur
Sans savoir pour qui battait leur cœur
Parfois on change un mot, une phrase
Et quand on est à court d'idées
On fait la la la la la la
La la la la la la
Longtemps, longtemps, longtemps
Après que les poètes ont disparu
Leurs chansons courent encore dans les rues
Un jour, peut-être, bien après moi
Un jour on chantera
Cet air pour bercer un chagrin
Ou quelque heureux destin
Fera-t-il vivre un vieux mendiant
Ou dormir un enfant
Ou, quelque part au bord de l'eau
Au printemps tournera-t-il sur un phono
Longtemps, longtemps, longtemps
Après que les poètes ont disparu
Leur âme légère court encore dans les rues
Leur âme légère, c’est leurs chansons
Qui rendent gais, qui rendent tristes
Filles et garçons
Bourgeois, artistes
Ou vagabonds.
Longtemps, longtemps, longtemps
La la la...
leurs chansons courent encore dans les rues
L'âme des poètes (Longtemps, longtemps, longtemps)
Charles Trenet
Longtemps, longtemps, longtemps
Après que les poètes ont disparu
Leurs chansons courent encore dans les rues
La foule les chante un peu distraite
En ignorant le nom de l'auteur
Sans savoir pour qui battait leur cœur
Parfois on change un mot, une phrase
Et quand on est à court d'idées
On fait la la la la la la
La la la la la la
Longtemps, longtemps, longtemps
Après que les poètes ont disparu
Leurs chansons courent encore dans les rues
Un jour, peut-être, bien après moi
Un jour on chantera
Cet air pour bercer un chagrin
Ou quelque heureux destin
Fera-t-il vivre un vieux mendiant
Ou dormir un enfant
Ou, quelque part au bord de l'eau
Au printemps tournera-t-il sur un phono
Longtemps, longtemps, longtemps
Après que les poètes ont disparu
Leur âme légère court encore dans les rues
Leur âme légère, c’est leurs chansons
Qui rendent gais, qui rendent tristes
Filles et garçons
Bourgeois, artistes
Ou vagabonds.
Longtemps, longtemps, longtemps
La la la...
1.11.09
Que quelques images .....
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