si les nouvelles mûrissent
28.8.10
27.8.10
technologies au service des transports
la voiture volante ( cliquer sur le titre) Son nom : Pal-V. Sur route, elle vous permettra de vous baladez à peu près normalement ou vous le désirerez, avec ces 3 roues rappelant les magnifique tricycle de notre enfance, et ses deux pales d'hélicoptères repliées sur le toit...

En dehors de la route, le Pal-V, 4 mètres de long, 1 de large, 1,60 de haut, vous permettra vous l'aurez comprit de voler, à une vitesse moyenne de 200km dans le ciel du monde entier, à une altitude maximum de 1500 mètres ; finit les embouteillages
Un bus volant en Chine
par mahdi le Dim 08 Aoû 2010, 21:22
La Chine semble avoir trouvé LA solution pour réduire définitivement les embouteillages dans les rues de Pékin : le bus " volant ".
La Chine est aujourd'hui le plus grand marché automobile de la planète ce qui pour conséquence, entre autres, de rendre les villes chinoises saturées en termes circulation.
Etranges chinois :bientôt l'homme qui vole

En dehors de la route, le Pal-V, 4 mètres de long, 1 de large, 1,60 de haut, vous permettra vous l'aurez comprit de voler, à une vitesse moyenne de 200km dans le ciel du monde entier, à une altitude maximum de 1500 mètres ; finit les embouteillages
Un bus volant en Chine
par mahdi le Dim 08 Aoû 2010, 21:22
La Chine semble avoir trouvé LA solution pour réduire définitivement les embouteillages dans les rues de Pékin : le bus " volant ".

D'où l'idée de l'entreprise Shenzhen Hashi Future Parking Equipment Co de proposer aux autorités un bus " volant ".
Ce dernier est une sorte de grand tramway surélevé permettant aux véhicules de moins de deux mètres de hauteur de passer au-dessous.
Haut de 4,5 mètres, il peut rouler jusqu'à 60 km/h et transporter entre 1200 et 1400 passagers d'un coup. Il pourrait réduire les embouteillages de 20 à 30%. Autre argument de taille : son prix. En effet, la fabrication d'un bus et de 40 kilomètres de rails coûterait 500 millions de yuans (56 millions d'euros), soit 10% du coût d'un métro similaire, ce qui n'est pas rien. Enfin, le véhicule a été conçu pour fonctionner à l'énergie solaire, un réel avantage à notre époque.
Ce drôle de bus pourrait être mis en circulation à Pékin dès la fin de l'année 2011. En Chine, on ne traine pas avec les bonnes idées...
24.8.10
tuer sans risquer d'être tué
voilà bien le progrès
Les forces américaines déployées en Afghanistan et celles de la CIA qui opèrent dans ce pays sont les seules
à utiliser des drones dans la région
Une attaque de drone fait douze morts au Pakistan
LEMONDE.FR avec AFP et Reuters
23.08.10
20h19 • Mis à jour le 23.08.10
22h00
et voici le modèle pour enfants

21.8.10
lumières du matin
premier regard sur le ciel
premier regard sur ce qui nous en vient
et par une fenêtre encore fermée
tamisée au rez de chaussée
déjà claironnante dehors
19.8.10
LANGAGE
de Colette Grinevald dans les cahiers de Science et Vie:
"Selon des chiffres publiés par mon confrère David Harmon, la diversité linguistique dans le monde a régressé de 20% sur la seule période des trentes-cinq dernières années. L'ensemble des langues indigènes de 21% à raison de 20% en Afrique, de 30% dans le pacifique et de 60% en Amérique. A ce rythme , la moitié des langues aura disparu avant la fin du sciècle.
................
.... le plus probable est que quatre ou cinq langues véhiculaires mondiales connaîtront une diffusion massive. A côté de l'anglais figureront certainement le chinois et l'espagnol selon les régions du monde" et pour l'image ( Science et Vie)
La Tour de Babel
et pour un petit jeu de mots
Avaleurs de poussières
Avaleur de sabre, avaleur de couleuvre
Ou de vipère
Il suffit de savoir avaler
Une potion sans la mâcher
Avaler sa salive sans s’étrangler
Avaler n’est point goûter
Mais goinfrerie de mal élevé
Avaler ses mots n’est point savoir parler
Avec un brin de distinction et de clarté
Ravaler sa rancœur c’est encore avaler
Avant qu’elle ne vous ressorte par les yeux
Ravaler ses larmes, ravaler ses pleurs
Combien faut-il de journées pour avaler
La mer et ses poissons
C’est toujours dur d’avaler
Ce qu’on a sur le cœur
Mais avaler la poussière des étoiles
C’est selon
C’est un petit val qui mousse de rayons
Toutes les étoiles y sont tombées.
En poussière.
18.8.10
les presque dernières
REINE CLAUDE
il me manque une grande bassine de cuivre
mais n'ai jamais aimé le cuivre pour cuisiner
et je ne fais pas de vraies confitures
mais de la compote à peine sucrée
pour la conserver la verser bouillante dans un bocal de verre.
fermer soigneusement avec un couvercle à vis
et retourner le bocal pour que tout soit bien stérilisé
16.8.10
14.8.10
Après trois ans
comme les choses se répètent sans qu'on s'en aperçoive.
Par hasard je retrouve ceci
http://micheline84.blogspot.com/2008/06/la-nature-dans-tous-ses-tats.html
et aussi ceci en écho dans ma mémoire
Après trois ans
Ayant poussé la porte étroite qui chancelle,
Je me suis promené dans le petit jardin
Qu'éclairait doucement le soleil du matin,
Pailletant chaque fleur d'une humide étincelle.
Rien n'a changé. J'ai tout revu : l'humble tonnelle
De vigne folle avec les chaises de rotin...
Le jet d'eau fait toujours son murmure argentin
Et le vieux tremble sa plainte sempiternelle.
Les roses comme avant palpitent ; comme avant,
Les grands lys orgueilleux se balancent au vent,
Chaque alouette qui va et vient m'est connue.
Même j'ai retrouvé debout la Velléda,
Dont le plâtre s'écaille au bout de l'avenue,
- Grêle, parmi l'odeur fade du réséda.
Verlaine
Par hasard je retrouve ceci
http://micheline84.blogspot.com/2008/06/la-nature-dans-tous-ses-tats.html
et aussi ceci en écho dans ma mémoire
Après trois ans
Ayant poussé la porte étroite qui chancelle,
Je me suis promené dans le petit jardin
Qu'éclairait doucement le soleil du matin,
Pailletant chaque fleur d'une humide étincelle.
Rien n'a changé. J'ai tout revu : l'humble tonnelle
De vigne folle avec les chaises de rotin...
Le jet d'eau fait toujours son murmure argentin
Et le vieux tremble sa plainte sempiternelle.
Les roses comme avant palpitent ; comme avant,
Les grands lys orgueilleux se balancent au vent,
Chaque alouette qui va et vient m'est connue.
Même j'ai retrouvé debout la Velléda,
Dont le plâtre s'écaille au bout de l'avenue,
- Grêle, parmi l'odeur fade du réséda.
Verlaine
la porte qui chancelle
12.8.10
CÔTE OMBRE, CÔTE LUMIERE
dans sa prison de ciel barré il n'a pas survécu, mon arbre
mais là au soleil du matin, on peut tout espérer
en autre lieu autre générosité
les fruits sont préparés
reine claude se nomment
et bien jolies aussi seront dans mon panier
si le bec des oiseaux nous en laissent assez
10.8.10
7.8.10
quel rapport
peut-il exister
entre la marée noire du golfe du Mexique,
Marée Noire Golfe Du Mexique : BP Cache Les Preuves [VOSTFR]
envoyé par la-matrice_org. - L'info video en direct.
et l'atmosphère toxique qui asphyxie Moscou
ou ceci
entre la marée noire du golfe du Mexique,
Marée Noire Golfe Du Mexique : BP Cache Les Preuves [VOSTFR]
envoyé par la-matrice_org. - L'info video en direct.
et l'atmosphère toxique qui asphyxie Moscou
ou ceci
6.8.10
ces choses qui nous étonneront toujours
et pour contrer cette contre vérité que j'évoquais dernièrement à savoir que la nature a horreur du vide je lis dans le dernier numéro de Sscience et Vie:" un verre d'eau plein est à 99,99%vide et autres 80 vérités scientifiquement démontrables comme la masse d'une montre augmente quand on la remonte, qu'on ne sait pas combien pèse un kilo,qu'il y a 100 fois plus d'êtres vivants sur la surface de notre peau que d'humains sur terre, que la masse totale des lombrics dépasse celle de tous les animaux terrestre etc etc...
Mais pour nous en tenir à la notion de vide, j'ai trouvé dans la blogoshère un article intitulé FAIRE LE PLEIN DU VIDE...tout à fait étonnant que vous pourriez lire en cliquant sur le titre ci-dessus
Pour les esprits scientifiques
(cliquer pour mieux lire)
4.8.10
1.8.10
ce qui trottait dans ma tête
Symétrie décalée
Dans un hall luisant des hôpitaux privés
Deux êtres m’ont paru tout à l’heure égarés
Sous la lumière vive ils cherchent un chemin
Qui soit moins périlleux que celui du destin.
Pareils tous les deux, le temps n’importe pas
Venus seulement s’aider à bien franchir le pas
L’un qui va partir, l’autre qui son souffle retient
Pour empêcher que ne tremble sa main
Ainsi tous allons- nous tout au long de la chaîne
Serrés l’un contre l’autre tant que dure l’haleine
-Qui des deux voyageurs aura plus grande peine
Quand finit le chemin où se poursuit l’antienne ?
Et je m’interrogeais, les voyant s’avancer :
-Qui prendra soin de vous mes enfants bien aimés
Pour aller sous la terre, tranquilles reposer
Je ne serai plus là pour voir et méditer
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