quand on n'a plus mal
quand on n'a plus mal au ventre
ni au coeur ni autrement
les choses deviennent si belles
quand on n'a plus mal aux dents
c'est une morale éternelle
ne croyez pas qu'ils sont méchants
ceux qui souffrent mille peines
et n'ont rien à se mettre sous la dent
ne croyez pas qu'ils ont la flemme
ceux que la douleur réduit à néant
petite douleur de la semaine
qu'aucun dimanche ne suspend
petit frisson de coeur absent
dans l'étendue de l'océan
on ne sait plus comment
aimer, sourire et devenir
quand on n'a plus mal au ventre
ni au coeur ni autrement
les choses deviennent si belles
quand on n'a plus mal aux dents
c'est une morale éternelle
ne croyez pas qu'ils sont méchants
ceux qui souffrent mille peines
et n'ont rien à se mettre sous la dent
ne croyez pas qu'ils ont la flemme
ceux que la douleur réduit à néant
petite douleur de la semaine
qu'aucun dimanche ne suspend
petit frisson de coeur absent
dans l'étendue de l'océan
on ne sait plus comment
aimer, sourire et devenir
3 commentaires:
C'est très bien tourné ce texte Micheline, et si les mots permettent de ne plus avoir mal, alors, c'est cool...bon week end à toi, merci de ton petit coucou chez moi, bisou...
Comme j'essayais de le dire hier, censurée par Blogger, c'est une telle joie de lire cette joie bien réelle qui donne une énergie a ressorts a chacun de tes mots et a l'espace qui les meut et les rassemble, Mimi!
Aucun courage, de mon cote, passe un certain seuil de douleur.
Passe une excellente journée, a étirer ce bonheur si précieux d'être simplement bien, bien en vie!
Zed ♥
Bien content que tu en aies fini avec cette méchante maladie.
Bises et bon week-end.
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