Il m’a dit : tiens, un petit bouquin qui n’a l’air de rien….
Le lendemain matin, il arrive je venais de le terminer
Je lui tends, j’ai des larmes plein les yeux
- moi aussi j’ai pleuré après la dernière page dit-il
C’est bête ces choses là.
Et ça ne m’arrive plus guère..
Celles qui font pleurer Margot dans les chaumières ?
Non, non une destinée banale mais impitoyable
Une pure émotion chaude, chaude et bouleversante.
Quand le rire se résout en larmes inattendues.
J’ai passé ce petit bouquin à ma fille.
Il ne lui a pas fallu longtemps.
Tu as déjà fini ??
-oui j’ai lu en travers..
- non je n’ai pas accroché ..
- Insensible ma fille ?
- Que non !
Ces sensibilités qui font les différences,
Ces petites griffures au sein d’un amour réciproque sans conditions,
Toujours inattendues dans nos désirs d’absolu
Ce petit bouquin s’appelle :
« Il a jamais tué personne,mon papa »
150 pages à peine, aérées, petit format, gros caractères
cliquer pour mieux lire
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2 commentaires:
une histoire banalement atroce
Pour savoir si j'aurais été comme toi ou comme ta fille tout dépend de l'écriture.
Quant aux gouts, si j'aime quelque chose la famille unanime juge que c'est prétentieux et mauvais et que c'est mon conformisme à rebours de celui des "gens normaux" qui parle
enfin ça s'arrange un peu - et puis il suffit de ne pas en parler,comme de tas d'autres choses - on s'aime
"tout dépend de l'écriture"!!
celle qui colle à la chose ou qui convient à notre esprit?
je ne sais si tu aimerais...si loin de ta manière d'un esthétisme raffiné et complexe, un parler simple et populaire,vrai comme cette histoire
ce qui sépare davantage à mon avis ce sont nos sensibilités idéologiques..
il sufit de ne pas en parler..et jusqu'où? puisqu'on s'aime!!
pas de politique si possible!qui divise aussi "les gens normaux"
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