Epoustouflant le bagout de ce type à la radio ce matin tout en déjeunant
Dont les miettes tournent encore dans ma tête comme résidus croustillants.
L’espace temps, le temps mathématique, le temps évènement, le temps immobile
Le temps, celui de rien et demeure hors du temps...être mort et vivant en même temps
Qui n’ont guère évolué depuis la nuit des temps pour éclaircir le mystère.
Vibration d’oralité dans l’air comme oiseaux savent faire
Ou forme creuse inscrite dans la pierre pour y défier les ans.
Puis papyrus advenant les mots se firent traces légères
Bien après qu’en gesticulant les hommes surent parler sans rien dire.
Je prenais donc mon temps pour ne faire qu’itinéraire sur mon écran
Effacer comme il me plait la virtualité de l’instant dont il ne restera
Que poussière.
Et la rose
Qui cet hier avait signé l’éternité de la beauté éphémère.
Care pourra venir et rose papane se pavanant
We can évidemment
Même s’il n’est plus temps de savoir ce que parler veut dire.