Au fil des jours: pour confirmer mon expérience à partir du lien ci-dessous

24.3.08

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http://julie70.blogspot.com/

5 commentaires:

tanette a dit…: Bravo, belles animations...Moi tout ça, ché pas faire.....! Bonne nuit.; 24 mars, 2008 22:06
Brigetoun a dit…: j'ai esayé hier mais pas avec ce truc,peut être ce soir
sont belles les pèches - souvenir et attente ?; 25 mars, 2008 07:15
Brigetoun a dit…: j'émerge d'un long trou pour trouver ton commentaire. Ben toi au moins tu es capable : d'avoir des pèches - d'en faire un diaporama !; 25 mars, 2008 18:37
Julie Kertesz - me - moi - jk a dit…: Trois qui tournent d'un coup! j'adore ces dernières images surtout!

réussite confirmé... sauf que, très discraitement, il y a un truc qu'on peut décocher ou cocher pour dire si on veut ou non que cela part automatiquement, ou quand on clic dessus, dans ce cas, je dirais, comme on ne peut pas regarder trois à la fois, mieux vaudra chercher où c'est, je dois t'avouer que je ne le retrouve pas toujours, tellement c'est discret!

heureuse que tu as réussi à l'utiliser, tellement amusant et utile aussi - et gratuit!

Miam, tes pèches! quelle merveilleuse images que tu nous offre ici!; 28 mars, 2008 17:38
micheline a dit…: julie, merci pour tes indications, je t'ai mis un mot sur ton blog.
je te dirai quand j'aurai trouvé le petit truc à cocher; 29 mars, 2008 10:25

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L'ethnologue Claude Lévi-Strauss,âgé de 100ans est mort ce 1er nov 2009

citation
Lévi-Strauss évoque sans détour la vieillesse et déclare notamment : « [il y a] aujourd'hui pour moi un moi réel, qui n'est plus que le quart ou la moitié d'un homme, et un moi virtuel qui conserve encore une vive idée du tout. Le moi virtuel dresse un projet de livre, commence à en organiser les chapitres, et dit au moi réel : "C'est à toi de continuer." Et le moi réel, qui ne peut plus, dit au moi virtuel : "C'est ton affaire. C'est toi seul qui vois la totalité." Ma vie se déroule à présent dans ce dialogue très étrange[23]. »

Colloque sentimental

Paul VERLAINE (1844-1896)

Dans le vieux parc solitaire et glacé
Deux formes ont tout à l'heure passé.

Leurs yeux sont morts et leurs lèvres sont molles,
Et l'on entend à peine leurs paroles.

Dans le vieux parc solitaire et glacé
Deux spectres ont évoqué le passé.

- Te souvient-il de notre extase ancienne?
- Pourquoi voulez-vous donc qu'il m'en souvienne?

- Ton coeur bat-il toujours à mon seul nom?
Toujours vois-tu mon âme en rêve? - Non.

Ah ! les beaux jours de bonheur indicible
Où nous joignions nos bouches ! - C'est possible.

- Qu'il était bleu, le ciel, et grand, l'espoir !
- L'espoir a fui, vaincu, vers le ciel noir.