7.5.10

qu'est-ce que j'ai fait aujourd'hui?

une vidéo à partir des images des autres!!!quelques jours en bateau sur la Meuse

5 commentaires:

Anonyme a dit…

Quelles belles photos de nature et quelle magnifique nature! Surtout celle où une femme, je crois, dévale une colline, j'aime beaucoup.

Fanny a l'air si heureuse avec ses chevaux, mais en général aussi, dans cet environnement.

La caméra en aurait-elle surpris quelques0uns? Amusant les airs surpris. Même le pauuuuvre poisson participe. Je crois que se faire pêcher n'était pas prévu dans son agenda!

Merci, Mimi!

Bonne fin de soirée et je t'embrasse affectueusement.

Zed xxx...

micheline a dit…

que pense- tu de

micheline a dit…

Air fou,
renseignements pris, pauvre poisson avait été offert par un autre pêcheur et aussitôt remis à l'eau.
longue vie à lui!

Anonyme a dit…

J'en pense que parfois, on vit pour les chats qui eux y croient encore et se fient sur nous comme sur la certitude la plus absolu.

Qu'à force de jouer le « jeu » de toucher et de ne pas toucher, oui, on s'aperçoit qu'il y a la même pudeur et le même désarroi chez plusieurs, la même angoisse de toucher, d'être touché/e, parce que le lien entre l'amour et la mort est inscrit dans la vie. Que la peur de vivre et celle de finir sont une seule et même peur, peut-être la nature même du sourire.

Que tant qu'on arrive à se faire croire une éternité et une exception appliquées à nous-mêmes et à celles et ceux qui font partie de nous, on peut « sauver sa peau ».

La peau de son âme (pas immatérielle, mais ressentie telle la signature de l'être comme étant « soi ») regarde tout ce manège, plus grande et grandiose, elle, donc nous, tout simplement, que l'auteur appelle le non-rationnel, qui finit par suivre ses propres chemins et n'écoute que la vie, celle qui s'inscrira dans les êtres aimés avant la nôtre, déjà si improbable, n'ai glissé hors de soi.

Le texte est sublime et c'est ainsi que je le comprends. Je me méfie de la beauté remuante des chants religieux, en même temps qu'ils disent bien la mort aussi bien que l'extase et tant de leurs contradictions. L'inclinaison de la photographie intérieure/extérieure, qui inscrit la nature au dedans de soi, à l'image de l'oblicité parfois plus opaque que transparente, le regard sur notre chemin, celui des autres. La re-naissance de l'amour, chaque fois qu'on le croit échappé, de la vie, qui n'aura d'égard concret pour la fin qu'aux tous derniers moments, ceux, comme tu disais, de son imminence, quand on ne retournera plus dans le tambour de la nuit.

Je t'embrasse et t'offre une branche de lilas, pas trop éclos, que tu puisse l'observer, examiner ses transformations d'un œil toujours à la fois expérimenté et nouveau.

Zed xxx...

Poisson avait raison de ne pas avoir mis ça à son agenda. Mais quelle frousse.

Anonyme a dit…

Juste un petit miaou. Aujourd'hui, spécialement, fais ce qu'il te plait (se prononce è tous les deux ici)! Tu as tous les droits! ¦)

Zed xxx...