Au fil des jours: les pensées positives de mon AMARYLLIS

2.2.08

les pensées positives de mon AMARYLLIS

7 commentaires:

tanette a dit…: De belles pensées ton amaryllis....merci d'avoir fait parler (et chanter) pour nous cette très belle fleur.; 02 février, 2008 13:59
Anonyme a dit…: WAOUH Micheline, sur un air de lambada, s'il vous plait !...extra pour un samedi soir :-)
A part ça, j'adore ce que tu fais dire à ton amaryllis... superbe !
Et merci de m'avoir fait chanter à tue-tête devant mon écran. Bisous, tout plein !; 02 février, 2008 17:39
Rosie a dit…: Ton amaryllis est magnifique et en plus, elle danse la lambada, wow!

En plus de danser, que de secrets elle nous livre avec ces pensées si belles.

Bon samedi et bisous de ta p'tite cousine du Québec.; 03 février, 2008 06:25
Brigetoun a dit…: une petite merveille Micheline, j'ai eu de la peine avec l'Amarylis, et puis j'ai été contente de voir que courageusement elle palliait au manque de lumière extérieure (mais la seconde plus silencieuse est encore plus belle); 03 février, 2008 10:15
marie.l a dit…: quel beau montage ! recherche de lumière ! constance dans la vaillance ! merci Micheline; 03 février, 2008 14:54
Solange a dit…: Une fleur qui chante, ça commence bien un dimanche.bonne journée.; 03 février, 2008 16:44
Rosie a dit…: Bon début de semaine.

Bon lundi et bisous de ta p'tite cousine du Québec.; 04 février, 2008 07:38

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L'ethnologue Claude Lévi-Strauss,âgé de 100ans est mort ce 1er nov 2009

citation
Lévi-Strauss évoque sans détour la vieillesse et déclare notamment : « [il y a] aujourd'hui pour moi un moi réel, qui n'est plus que le quart ou la moitié d'un homme, et un moi virtuel qui conserve encore une vive idée du tout. Le moi virtuel dresse un projet de livre, commence à en organiser les chapitres, et dit au moi réel : "C'est à toi de continuer." Et le moi réel, qui ne peut plus, dit au moi virtuel : "C'est ton affaire. C'est toi seul qui vois la totalité." Ma vie se déroule à présent dans ce dialogue très étrange[23]. »

Colloque sentimental

Paul VERLAINE (1844-1896)

Dans le vieux parc solitaire et glacé
Deux formes ont tout à l'heure passé.

Leurs yeux sont morts et leurs lèvres sont molles,
Et l'on entend à peine leurs paroles.

Dans le vieux parc solitaire et glacé
Deux spectres ont évoqué le passé.

- Te souvient-il de notre extase ancienne?
- Pourquoi voulez-vous donc qu'il m'en souvienne?

- Ton coeur bat-il toujours à mon seul nom?
Toujours vois-tu mon âme en rêve? - Non.

Ah ! les beaux jours de bonheur indicible
Où nous joignions nos bouches ! - C'est possible.

- Qu'il était bleu, le ciel, et grand, l'espoir !
- L'espoir a fui, vaincu, vers le ciel noir.