mon père en 1914 au moment de la mobilisation, il faisait son sevice militaire.
il fut blessé tout au début de la guerre( artère du bras droit à l'épaule)il fut reversé à la défense contre avion à l'arrière.
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6 commentaires:
J'aime beaucoup ces vieilles photos, tous ces enfants qui sont morts aujourd'hui. J'aime à imaginer leur vie. Il a fière allure votre père sur la deuxième.
On pense toujours que ce sera la dernière et...
Mon père était né en 1914, il a échappé à une mais pas à l'autre!
Bonne soirée
Amitiés
Viviane
passé une bonne partie de ces dernières 24 heures avec eux, et pleuré sans pudeur sur eux et tous les autres
coucou Micheline!!
Mon grand père aussi a suivi presque le même cursus.
Bon cavalier,(il était dresseur de chevaux dans le civil) il a été affecté dans la cavalerie au 10 régiment chasseurs. Puis ayant été blessé au début il a été affecté à la base de CAZEAU (33) pour régler les mitrailleuses des avions.
L'aviation naissante a été mise en route avec des éléments de la cavalerie.
Tu sais qu'à cette époque les armes tiraient à travers l'hélice et non dans l'axe. Alors pour ne pas se crasher soit même il fallait synchroniser la cadence des deux.
Je t'envoie la photo de mon grand père sur ta messagerie sur ta messagerie.
oui tous ces gens qui sont morts pour rien,la chance étant d'être blessé et d'échapper au pire. Tant de forces vives anéanties ou saccagées, d'un coté comme de l'autre.
ce qui m'émeut le plus ce sont ces visages d'enfant sur une photo d'école :mon papa avec son visage doux et confiant , les autres avec l'esquisse de leur caractère timide, réservé ou assuré , espérant sans savoir ce que le sort allait leur réserver!
les deux grands à gauche et en haut de la photos qui font déjà les petits hommes , les 2 doigts dans l'ouverture de leur veste, posture caractéristique qu'on retrouve dans les portraits de Napoléon 1er.
oui brigetoun les larmes me montent aussi aux yeux
vincent,
merci pour la photo de ton grand'père- en tenue de sortie a dit mon mari ; - et pour les autres détails.
mon père fut versé à la DCA à Dammartin en Goëlle au nord de la Seine et Marne, où il recontra ma mère.
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