20.1.06

la vie oscille comme un pendule....

je reprends ici une partie d'un comment d'Aben :
"La vie oscille comme un pendule, de droite à gauche, de la souffrance à l'ennui"

qui m'a permis de découvrir un article intéressant:
dont je donne ici le début et la fin:

Ab absurdo: Réflexion sur la mort du sociologue Brahim Labari
le 21/02/2004

DEBUT« L’homme qui se respecte quitte la vie quand il veut ; les braves gens attendent tous, comme au bistrot, qu’on les mette à la porte » KLIMA.
Lavie oscille comme un pendule, de droite à gauche, de la souffrance à l’ennui » SCHOPENHAUER

………(on peut lire la totalité d’un long article en affichant simplement sur un moteur de recherche : « la vie oscille comme un pendule » )

FIN "Mais la mort guette et frappe à tour de rôle. A chacun son tour : la seule égalité des êtres humains. Ils partent sans bagages, souvent furtivement. Autant de départs d’adieu incompréhensibles, consolables avec le temps. Pierre Bérégovoy, l’ancien premier ministre français, quelques mois avant son suicide, écrivait pour les Annales du Nivernais :

« LES MORTS SONT PARMI NOUS, INSPIRATEURS DE NOTRE MEMOIRE, PRECURSEURS ET ACTEURS DE L’HERITAGE QU’ILS NOUS ONT LEGUE ET DONT NOUS SOMMES RESPONSABLES. LES VIVANTS CESSENT DE L’ETRE QUAND ILS NE PENSENT QU’A LA MORT, MAIS CELLE-CI SE VENGERAIT S’ILS VOULAIENT L’AFFRONTER HORS DE LA SERENITE QUI CONSTITUE LA TRAME DE TOUTE VIE... »Voilà le maître mot : la sérénité. AL ITMI’NAN .Brahim LabariSociologue - Paris

3 commentaires:

Anonyme a dit…

C'est vrai que retirés de leur contexte, les mots "abondance et oisiveté" n'ont pas grand chose de commun.
Dans "Perspectives Economiques pour nos Petits Enfants", paru en 1930, Keynes écrit : "Nous sommes actuellement affligés d'une maladie nouvelle : le chômage technologique." "Il se peut que nous réussissions à effectuer toutes les opérations nécessaires aux besoins essentiels, avec seulement le quart de l'effort humain." Et il conclue : "il n'est pas de Nation qui puisse voir venir l'âge de l'abondance et de l'oisiveté sans craindre"...
En le citant, je voulais simplement suggérer qu'un part du dérèglement de notre socièté pourrait bien venir du chomâge qu'apréhendait Keynes, en 1930, pour ses petits enfants.
Que ce chômage en pays riche vienne des avancées technologiques ou de l'exploitation que l'on fait de la main d'oeuvre en pays pauvres... ou de toute autre chose ne changerait rien au probême. Comme le disaient nos anciens : l'oisiveté a toujours été mauvaise conseillère. N'ont-ils pas été jusqu'à l'accuser d'être la mère de tous les vices...?

Anonyme a dit…

Coucou Micheline, je suis revenue et mon petit Fripouille s'est gardé tout seul comme un grand..en liberté dans l'appartement et sans faire trop de bétises..juste un ptit bout de ma couette mordue et trouée...mais c'est pas grave, en tout cas il était content de me voir et moi aussi j'étais supere heureuse de le retrouver...Je te souhaite un bon week-end..Gros bisous Isabelle.

marie.l a dit…

merci de t'être arrêtée sur mon blog, et merci pour ton commentaire... ton hasard est le mien puisque je découvre et m'arrête pour te lire, pour te garder dans mes "favoris"
Cordialement
Marie.L