12.5.06

à billet d'humeur humeur chagrine

Je viens de lire rapidement le billet d’humeur d’Aben : il y a en effet de quoi se poser des questions et pas de réponse simple surtout depuis que l’économie en général se trouve confrontée d’une manière plus aiguëe à la mondialisation.

Dans l’urgence on bricole…et ceux qui bricolent le mieux sont ceux qui tiennent les rennes Pour ne parler que de la pub sous toutes ses formes qui, comme j’ai dit et comme il le dit,réduit le consommateur à l’esclavage de la mode, du bien penser … du snobisme en tout genre . Par ex et pour rester dans le classique moyen et dans mon cas; avoir une résidence secondaire ce fut et c'est encore une mode à laquelle on souscrit,...quand on peut, quitte à dépenser le bol d’air mythique si bénéfique pour les enfants dans les vapeurs d’essence du retour et le stress de la circulation …et alors que d’autres n’ont même pas une résidence principale acceptable .

Comment refaire le monde, il m’arrive de croire à la lente maturation des esprits à la victoire du bonheur de vivre ensemble dans la fraternité (l’égalité ??) mais j’étais triste hier en regardant comment pour sauver un jeune léopard on lui apprenait à capturer une innocente biche..

TOUS RESPONSABLES MAIS PAS COUPABLES!

3 commentaires:

Anonyme a dit…

Quand on est, comme je le suis, victime de sensiblerie, on détourne la tête pour ne pas voir le fauve dévorer la gazelle.
Je ne me sens pourtant pas coupable, pas même responsable.
Les lois de la nature défendent plus aisément les puissants que les faibles. Comme il arrive à celles édictées par les hommes

Anonyme a dit…

la loi de la jungle ... moi aussi, je detourne la tête ... lâcheté, peut être ... mais au quotidien aussi et surtout dans le milieu professionnel, les fauves sont lachés et souvent, il faut garder son energie pour pouvoir se défendre et sauver, non pas sa peau ... mais son boulot !!!
bonne journée

Anonyme a dit…

Commentaire très juste. Tu sais que ce que je pense est dans cette optique. Nous sommes tous responsables dans nos faits quotidiens de travail, d'achats, de consommation, de vivre avec les autres etc... Critiquer oui mais surtout agir dans sa vie à sa mesure est déjà la pierre à l'édifice de la reconstruction.