Au fil des jours: repos

3.10.05

repos

6 commentaires:

Anonyme a dit…: Très jolies ces deux photos, la deuxième n'est pas sans risque pour l'enfant ... un coup de griffe est si vite donné, même par un(e) chat(te) très très très gentil(le) ...
J'ai quelques souvenirs douloureux dans ce domaine ...; 04 octobre, 2005 00:56
micheline a dit…: j'étais à mon tour à me demander où tu étais, et prête à alerter la police!!!!!
bon tu me fais signe...
y aurait-il quelque chose entre nos deux blogs qui ne communique pas bien??
ces photos ne sont pas de moi j'aurais dû donner mes sources ... (reçues par mail de mon fils quand il s'ennuie (?)dans son bureau.....).
mais tu as raison,il ne faut pas réveiller le chat qui dort !

----- Original Message -----; 04 octobre, 2005 08:16
Anonyme a dit…: Micheline, tu es bien la dernière personne avec qui je voudrais me fâcher mais là je n'en peux plus ou je réduis sévèrement mon activité blog ou je craque ... je n'arrive pas à tout mener de front : le boulot, la famille éclatée, mes activités chorales, les emmerdements administratifs en tous genres, je n'écoute même plus de musique alors que je suis un mélomane passionné ... aujourd'hui je n'ai rien fait de bon par manque de sommeil ...

En tout cas je ne fermerai pas mon blog, cela ferait de la peine à trop de gens mais je réduirai mes publications et aussi mes visites, si j'y arrive car tout cela est devenu bien important pour moi aussi.

Micheline, j'ai toujours du mal à m'en sortir dans ton blog, par exemple, j'ai lu l'article "mea culpa" mais je n'ai jamais trouvé le texte dont il y est question. Quelquefois aussi j'essaye de retrouver un de mes commentaires pour ne pas me répéter et je ne le retrouve plus ...

Micheline, je trouverai toujours une petite minute pour te laisser un petit mot gentil, je laisserai mon blog ouvert, même s'il est peu actif et tu pourras m'y réveiller si jamais je t'oublie ce qui ne devrait pas se produire.

Affectueusement
François; 04 octobre, 2005 16:40
micheline a dit…: François,
je suis désolée d'avoir un peu plaisanté sur ton "éclipse"
l'esentiel c'est que tu sois encore quelque part et que ton ciel s'éclaircisse...
quant à la communication entre fournisseurs de blogs ,ça ne doit pas bien être au point..., ce matin je ne retrouve plus ni François,ni André ??
espérant que tu liras,merci de ta confiance, et mes voeux les plus amicaux.
micheline; 05 octobre, 2005 07:45
Anonyme a dit…: Micheline,
j'ai testé tes liens, ils fonctionnent tous sans problème, tu peux avoir des difficultés avec over-blog dont le serveur est très souvent surchargé, il est alors impossible de se connecter sur les blogs qui sont y hébergés, ce genre d'incident est de plus en plus fréquent et peut durer quelques heures, la seule solution consiste à patienter.
Quand tu laisses un commentaire tu te trompes toujours dans l'adresse de ton blog, tu écris :
http://micheline84blogspot.com/
et il manque le point entre 84 et blogspot,
l'adresse corrigée est :
http://micheline84.blogspot.com/
Tu auras surement plus de réponses en la corrigeant.
Amicalement.
François; 05 octobre, 2005 14:45
micheline a dit…: tu as raison mon adresse s'inscrivait automatiquement et je ne la vérifiais plus .mais j'avais un ange gardien! merci; 05 octobre, 2005 15:07

Enregistrer un commentaire

Inscription à : Publier les commentaires (Atom)

L'ethnologue Claude Lévi-Strauss,âgé de 100ans est mort ce 1er nov 2009

citation
Lévi-Strauss évoque sans détour la vieillesse et déclare notamment : « [il y a] aujourd'hui pour moi un moi réel, qui n'est plus que le quart ou la moitié d'un homme, et un moi virtuel qui conserve encore une vive idée du tout. Le moi virtuel dresse un projet de livre, commence à en organiser les chapitres, et dit au moi réel : "C'est à toi de continuer." Et le moi réel, qui ne peut plus, dit au moi virtuel : "C'est ton affaire. C'est toi seul qui vois la totalité." Ma vie se déroule à présent dans ce dialogue très étrange[23]. »

Colloque sentimental

Paul VERLAINE (1844-1896)

Dans le vieux parc solitaire et glacé
Deux formes ont tout à l'heure passé.

Leurs yeux sont morts et leurs lèvres sont molles,
Et l'on entend à peine leurs paroles.

Dans le vieux parc solitaire et glacé
Deux spectres ont évoqué le passé.

- Te souvient-il de notre extase ancienne?
- Pourquoi voulez-vous donc qu'il m'en souvienne?

- Ton coeur bat-il toujours à mon seul nom?
Toujours vois-tu mon âme en rêve? - Non.

Ah ! les beaux jours de bonheur indicible
Où nous joignions nos bouches ! - C'est possible.

- Qu'il était bleu, le ciel, et grand, l'espoir !
- L'espoir a fui, vaincu, vers le ciel noir.