Au fil des jours: JEAN JAURES

30.1.07

JEAN JAURES

5 commentaires:

Anonyme a dit…: salut!! ben dis donc, il a l'air en colère ton jojo! Il nous fait une colère rouge.
bonne nuit. Ho ! j'oubliais, je t'ai mis un petit mot sur mon blog. Si tu "vois" ABEN? BRIGETOUN tu peux leur dire stp?; 30 janvier, 2007 18:50
micheline a dit…: vincent,
mon jojo te fait dire qu'il n'a pas gardé les petits cochons avec toi.
ben dis donc c'est un ricanement blanc que tu nous fais ! blanc et rouge, il ne manque plus que le bleu pour faire Joly!!; 30 janvier, 2007 21:16
Anonyme a dit…: Maiaiaiais, je n'ai pas gardé les cochons. Ni les gros, ni les petits. Je savais pas qu'il l'avait fait, lui. T'en sais des choses. LOL.
sacré jean-JO.
bises; 31 janvier, 2007 10:58
micheline a dit…: je crois que tu ne connais pas bien l'expression "garder les petits cochons avec quelqu'un" , c'est pas forcément avec les petits cochons de celui qui parle.
laisse tomber!. Seulement pour te dire que ton comment était quelque peu indélicat : chercher l'erreur!!
Sacré VINCENT!!; 31 janvier, 2007 11:42
Anonyme a dit…: Bonjour Micheline,
Quand je pense que certains osent se prétendre plus ou moins héritiers de la pensée de ce grand homme comme on n'en fait plus, hélas ...
Nos politiciens manquent complètement de charisme, car ils n'ont qu'une conviction, celle de leur victoire au plus hautes charges de l'état.
Bisous, et à bientôt
YVES; 31 janvier, 2007 13:02

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L'ethnologue Claude Lévi-Strauss,âgé de 100ans est mort ce 1er nov 2009

citation
Lévi-Strauss évoque sans détour la vieillesse et déclare notamment : « [il y a] aujourd'hui pour moi un moi réel, qui n'est plus que le quart ou la moitié d'un homme, et un moi virtuel qui conserve encore une vive idée du tout. Le moi virtuel dresse un projet de livre, commence à en organiser les chapitres, et dit au moi réel : "C'est à toi de continuer." Et le moi réel, qui ne peut plus, dit au moi virtuel : "C'est ton affaire. C'est toi seul qui vois la totalité." Ma vie se déroule à présent dans ce dialogue très étrange[23]. »

Colloque sentimental

Paul VERLAINE (1844-1896)

Dans le vieux parc solitaire et glacé
Deux formes ont tout à l'heure passé.

Leurs yeux sont morts et leurs lèvres sont molles,
Et l'on entend à peine leurs paroles.

Dans le vieux parc solitaire et glacé
Deux spectres ont évoqué le passé.

- Te souvient-il de notre extase ancienne?
- Pourquoi voulez-vous donc qu'il m'en souvienne?

- Ton coeur bat-il toujours à mon seul nom?
Toujours vois-tu mon âme en rêve? - Non.

Ah ! les beaux jours de bonheur indicible
Où nous joignions nos bouches ! - C'est possible.

- Qu'il était bleu, le ciel, et grand, l'espoir !
- L'espoir a fui, vaincu, vers le ciel noir.