Au fil des jours: Des enfants qui rient en Seine Saint Denis

23.9.06

Des enfants qui rient en Seine Saint Denis

6 commentaires:

Julie Kertesz - me - moi - jk a dit…: magnifiques photos!

c'est seulement avec mon blog ou en général que les caractères s'affichent mal (éèç etc)?

ma belle fille m'a appris qu'il faut choisir Codage en IExplorer et ensuite Unicode plusieurs fois (ou autre qui convient à l'ordinateur qui lit) et au fil des fois ou jours, on a de nouveau les bons caractères, cela a marché chez moi; 23 septembre, 2006 19:25
micheline a dit…: c'est seulement sur ton blog!
c'est pas grave!; 23 septembre, 2006 21:41
Brigetoun a dit…: salut les gosses - un soleil malicieux pour la journée; 24 septembre, 2006 07:32
marie.l a dit…: superbes les photos, magnifiques les sourires... quoi de plus beau que des enfants heureux ?; 24 septembre, 2006 09:18
Anonyme a dit…: Un sourire d'enfant heureux, ça vaut tout l'or du monde, ici on devrait dire tout l'or du système solaire.
Bonne semaine, Micheline.; 24 septembre, 2006 22:21
Anonyme a dit…: Tu sais, moi aussi, le plus souvent, je laisse faire l'appareil... Il propose et moi je dispose. Je lui en refoule plus que ce que j'en garde.
Celle du bonheur de tes gamins, j'aurais bien voulu la faire... En plus d'une photo, c'est une image de rue plus courante qu'on ne croit à en juger par les infos...
Content aussi de la visite de Julie : n'y a rien de plus beau que d'se retrouver...
Bises d'amitié; 25 septembre, 2006 20:46

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L'ethnologue Claude Lévi-Strauss,âgé de 100ans est mort ce 1er nov 2009

citation
Lévi-Strauss évoque sans détour la vieillesse et déclare notamment : « [il y a] aujourd'hui pour moi un moi réel, qui n'est plus que le quart ou la moitié d'un homme, et un moi virtuel qui conserve encore une vive idée du tout. Le moi virtuel dresse un projet de livre, commence à en organiser les chapitres, et dit au moi réel : "C'est à toi de continuer." Et le moi réel, qui ne peut plus, dit au moi virtuel : "C'est ton affaire. C'est toi seul qui vois la totalité." Ma vie se déroule à présent dans ce dialogue très étrange[23]. »

Colloque sentimental

Paul VERLAINE (1844-1896)

Dans le vieux parc solitaire et glacé
Deux formes ont tout à l'heure passé.

Leurs yeux sont morts et leurs lèvres sont molles,
Et l'on entend à peine leurs paroles.

Dans le vieux parc solitaire et glacé
Deux spectres ont évoqué le passé.

- Te souvient-il de notre extase ancienne?
- Pourquoi voulez-vous donc qu'il m'en souvienne?

- Ton coeur bat-il toujours à mon seul nom?
Toujours vois-tu mon âme en rêve? - Non.

Ah ! les beaux jours de bonheur indicible
Où nous joignions nos bouches ! - C'est possible.

- Qu'il était bleu, le ciel, et grand, l'espoir !
- L'espoir a fui, vaincu, vers le ciel noir.